17 SEPTEMBRE - 17 OCTOBRE = 1 MOIS

Poème pour p. Gigi,
C'Paco Bautista, SMA, Espagne

Un jour, quelque part,

Tout sera autrement.
Pendant ce temps-là.
Nous vivons avec nos blessures,
cohabitent les peurs,
Les échecs,
Nous gérons nos fantômes
En ces temps de crise...

Mais aussi
Nous tirons le meilleur de nous.
Parce que nous croyons,
Contre toute évidence,
Dans la bonté innée
Du plus sacré
Que chacun porte à l'intérieur.

Et nous misons sur un monde
Sans frontières ni exclusions,
Où la vérité
Est le point de départ.
Pour faire de nouvelles choses.

Parce qu'un jour,
Quelque part,
Tout sera autrement.

Fraternel toujours


Le Conseil municipal de la ville de Crema lance un appel pour la libération de p. Gigi Maccalli
" la nuit du 17 septembre, un commando a fait irruption dans la mission de Bomoanga, en prenant avec lui le père Luigi Maccalli, un prêtre missionnaire originaire de la ville de Crema. À partir de ce moment-là, il n'y a pas eu de nouvelle du Niger. Le désarroi pour un fait aussi grave s'aggrave de jour en jour, d'heure en heure, l'angoisse pour le silence qui entoure cette affaire lointaine par la géographie, mais en réalité si proche de notre communauté.
Silence qui est très souvent chargé du travail clandestinement de la Farnesina et du Vatican, que nous respectons en pensant aux succès obtenus par le passé pour des cas similaires.
Il est cependant essentiel pour nous, ville de Crema, de son conseil municipal, d'exprimer notre proximité à la famille de p. Gigi Maccalli, à tous le pays de Madignano, en envoyant au ministère des affaires étrangères ce message : QU'IL SOIT FAITUN  MAXIMUM  A L'ATTENTION DE CETTE AFFAIRE QUI a frappé profondément notre communauté préoccupée par le sort d'un de son fils généreux, pourquoi ce silence sur toute cette affaire.
Nous en appelons au gouvernement pour qu'il inculque le maximum d'engagement dans les relations diplomatiques avec le Niger et son président, Mahamadou Issoufou.
Et nous faisons appel à ses ravisseurs : Veuillez faire savoir à sa famille que le père Maccalli est vivant et va bien, et nous vous demandons de le libérer, sans autres conditions."



Il Consiglio Comunale della Città di Crema lancia un appello per la liberazione di p. Gigi Maccalli
"La notte del 17 settembre un commando ha fatto irruzione nella missione di Bomoanga, portando via con sé padre Pierluigi Maccalli, un prete missionario cremasco. Da quel momento non si è mai avuto alcun aggiornamento dal Niger. Allo sgomento per un fatto così grave si aggiunge di giorno in giorno, di ora in ora, l’angoscia per il silenzio che circonda questa vicenda lontana solo geograficamente ma in realtà così vicina alla nostra comunità.
Silenzio che molto spesso è carico del lavoro sottotraccia della Farnesina e del Vaticano, che rispettiamo pensando ai successi ottenuti in passato per casi simili.
È tuttavia fondamentale per noi, città di Crema, in questo consiglio comunale, esprimere la nostra vicinanza alla famiglia di p. Gigi Maccalli, a tutti il paese di Madignano, inviando al ministero degli Esteri questo messaggio: che sia massima l’attenzione per questo caso che ha colpito profondamente la nostra comunità preoccupata per le sorti di un suo figlio generoso, perché non cali il silenzio su tutta questa vicenda.
Ci appelliamo al governo perché infonda il massimo impegno nelle relazioni diplomatiche con il Niger e il suo Presidente, Mahamadou Issoufou.
E facciamo appello anche ai suoi sequestratori: vi preghiamo di far sapere alla un sua famiglia che padre Maccalli è vivo e sta bene, e vi chiediamo di liberarlo, senza altre condizioni."


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